William Griffin - He's another work of art.

Signe(s) particulier(s) : ✘ William a toujours une paire de lunettes sur lui, au cas ou il devrait lire quelque chose. ✘ Il conserve toujours ses croquis de pâtisseries, depuis sa première année, dans un gros classeur. ✘ Aussi étrange que cela puisse paraitre, William n'aime pas le sucré. ✘

William est un homme très intelligent. Il aurait pu faire Harvard ou une autre grande école mais son choix s’est porté sur un domaine totalement différent de ce que proposé Harvard. Artistique, créatif et fan de cuisine, c’est vers la pâtisserie que son choix se porta et grâce à sa détermination, il devient propriétaire d’une boutique à succès. William aime voir rire les personnes qui l’entourent et il fera le pitre sans hésiter pour voir son entourage sourire. D’ailleurs très protecteur, il est prêt à tout pour les personnes qu’il aime.

William n’a pas que des points positifs. Après tout, personne n’est parfait et William aime avoir le dernier mot. Il est tellement têtu qu’il pourrait passer des heures sur un sujet jusqu’à temps qu’on lui dise qu’il a raison et s’il sait qu’il a tort, il ne le dira jamais. Il peut également bouder comme un enfant, pendant des heures ou même des jours entiers et très rancunier, il n’hésite pas à rendre la pareille. Il s’énerve souvent pour rien, mais personne ne pourra lui enlever son côté impulsif qui le caractérise si bien.

Le jeune William a bien grandit. Le petit garçon timide est devenu un homme, sûr de lui.

Aout 1985. Chicago.

«Félicitation, c’est un garçon ! ».
C’était la pire phrase que pouvait entendre madame Griffin à ce moment-là. Elle avait toujours rêvé avoir une fille et cette fois ci c’était ça dernière chance mais non, c’était le quatrième garçon qu’elle mettait au monde. Si monsieur Griffin était aux anges de voir son quatrième enfant pointer le bout de son nez, ce n’était pas le cas de sa femme qui le repoussa lorsque les sages-femmes ont voulus mettre le petit William dans ses bras. Elle ne lui avait pas adressé un seul regard. Elle qui était persuadée d’avoir une petite fille, suite à une visite chez une voyante, elle était tombé de haut ce jour-là. Elle lui faisait tellement confiance qu’elle n’avait pas voulu savoir le sexe de l’enfant jusqu’à l’accouchement. D’ailleurs, tous les meubles pour l’enfant étaient achetés et c’était très… féminin.  Tellement déçue, Madame Griffin ne toucha pas à la chambre et William ne dormait pas dans cette chambre car selon elle « ce n’est pas sa chambre ».  William partagea,  pendant toute son enfance, une chambre avec son frère ainé. Même si sa relation avec sa mère n’était pas celle dont il avait toujours rêvé, avec son père et ses frère c’était totalement différent. Mais plus ses frères quittaient la maison un par un, plus les tensions avec sa mère étaient présentes.


Le fin du secondaire arrivait pour William et il n’avait aucune idée pour son avenir. Ses professeurs lui avaient conseillé l’un des meilleurs lycées de la région, il en avait les capacités mais au fond de lui, il n’en avait pas l’envie. Il ne lui restait que quelques semaines avant de faire son choix mais il savait que quoi qu’il choisirait, son père le soutiendrait, il le lui avait dit. Durant ce laps de temps, William faisait des petits stages de deux journées minimum pour voir ce qui lui plairait. Grace à son père il avait pu voir le travail des médecins, des avocats, des notaires, des écrivains…. Des tonnes de métiers mais il était toujours indécis. Sa mère était toujours derrière lui, elle voulait qu’il choisisse quelque chose comme médecin ou bien avocat et tous les jours elle lui rabâchait  qu’il n’était bon à rien. Au fond de lui, William aimait sa mère, il aurait voulu lui dire mais dès qu’il essayait de lui parler, elle devenait sourde. A l’école, ce n’était pas vraiment la joie pour lui non plus. Il n’avait pas trop d’amis mais ce n’était pas son choix. Il n’arrivait pas à aller vers les autres, il était trop peu sûr de lui pour aller vers ses camarades et les histoires avec sa mère ne lui donnait pas envie de décevoir d’autres personnes. Mais un jour, alors qu’il déjeunait seul dans  la cours, une jeune fille, Amanda, vient vers lui. Elle était nouvelle et dans sa classe et pour le moment, elle aussi était seule, après tout, ce n’était pas simple d’arriver en plein milieu d’année sans connaitre personne. Cette jeune fille partagea son dessert avec William, une bonne pâtisserie française qu’avaient confectionnée son père, un grand chef pâtissier et le soir, il la raccompagna à la boutique que ses parents tenaient depuis quelques mois. Ce fut le déclic pour William. Toutes les pâtisseries qui se trouvaient dans cette boutique émerveillaient William et la façon dont il les faisait était juste incroyable pour William. En rentrant chez lui, il partit remplir sa fiche d’orientation et sans hésiter, c’est « pâtisserie » qu’il nota dessus. Bien évidemment, sa mère était contre mais son père avait tout fait pour lui faire changer  d’avis, et ça marcha. Cette jeune fille avait totalement changé la vie de William.




William travaillait jour et nuit dans la grande école qu’il avait intégrée. Son père lui avait payé l’entrée dans la meilleure école du pays. Une école de pâtisserie française, avec des professeurs français, également, qui avaient une très bonne réputation dans leur pays d’origine. Cette jeune fille qui avait changé sa vie, était dans la même école et dans la même classe. La bas, les classes étaient répartie par niveau, F étant les moins bon et A, les meilleurs. Grace à son dur labeur, William était dans la classe A et il faisait tout pour y arriver. Son avenir de pâtissier était vraiment bien  partit. Le fait de se trouver dans la même école qu’Amanda faisait vraiment plaisir à William. Il ne savait pas si c’était dut au fait qu’elle avait toujours était la lorsque qu’il avait besoin de quelqu’un mais il appréciait vraiment Amanda, peut-être un peu trop.
Les années étaient passées et William avait quitté Chicago. Depuis sa naissance, sa famille se déchirait peu à peu mais là, s’en était trop pour le père de William. Il ne supportait plus que sa femme renie leur fils cadet et il avait même décidé de quitter le pays. C’est pour ça que William quitta Chicago. Il avait besoin d’un nouveau départ, loin d’une mère qui ne supportait pas de le voir. Il avait compris qu’elle était déçue de ne pas avoir de petite fille mais il ne comprenait toujours pas le fait qu’elle le rejette de cette façon. William avait rejoint New-York, une ville parfaite pour prendre un nouveau départ. Grace à l’argent de son père, il a pu monter sa petite boutique de pâtisserie et s’acheter une maison. Il n’est plus seul désormais. Il vit avec, comme il le dit, la femme de sa vie, Amanda. Ils filent le parfait amour, un amour de jeunesse qui a bien grandit depuis. Et tout comme un couple modèle, ils travaillent tous les deux dans la boutique de William, en plein centre de Manhattan.




Tout était devenu parfait pour William. Sa boutique marchait a merveille et son couple roulait comme sur des roulettes. Enfin, c’est ce qui laissait paraitre. Vivre 24h/24 et 7j/7 avec Amanda, William n’en pouvait plus. Ils se voyaient trop et récemment, ils se prenaient trop la tête pour un oui ou pour un non. Ils étaient tous les deux sur les nerfs et ne faisaient aucun effort chacun de leur côté. Leur couple ne tenait plus qu’à un fil mais William ne voulait pas la perdre. Il l’aimait vraiment et il ne pourrait pas se faire à l’idée de perdre son premier amour. Mais avant que tout ne parte en vrille, William avait demandé sa petite-amie en mariage. Elle avait bien évidemment accepté et après ça, ils avaient même pensé à avoir un enfant, mais rien n’y faisait. Après des millions d’essai, ce n’était que des échecs. Surement la cause des tensions dans leur couple.

✘ Pseudo : Amandine
✘ Âge : 21 ans
✘ Pays : France
✘ Comment as-tu connu le forum ? : Magali  
✘ Premières impression sur le forum ? : Il est génial  
✘ Scenario? : Oui
✘ Multi compte ? : Non
✘ Présence sur le forum 7/7j
✘ Petit coup de pouce ? :

Code:

✘ Gaspard Ulliel → [url=ne rien écrire]William Griffin[/url]